La première de notre nouveau spectacle aura lieu
samedi 23 avril à 20h30
Salle des fêtes de Guécelard (72)
Nuits Chaudes à Bab-El-Oued
une comédie policière de Philippe Bardin
avec
Louise Allain
Justine Breton
Sarah Guiet
Antonin Landais
Amandine Lecler
Christopher Magiron
Ludivine Payen
Pierre Saulay
Juillet 1958 en
Algérie. Les sœurs Delavigne sont trois jeunes femmes qui résident depuis
quelques mois dans le quartier de Bab El Oued à
Alger. Elles occupent un grand appartement qu’elles partagent avec
Freddy, le mari d’Antoinette, la plus jeune d’entre elles.
Elles se présentent
comme de ferventes catholiques, envoyées en mission pour soutenir les Algérois en ces heures sombres de leur histoire.
En réalité ce sont de redoutables
fripouilles qui ont fui la métropole pour échapper à la police. En Algérie,
elles ont repris leurs coupables activités : elles piègent leurs victimes, de préférence des
notables fortunés, par de petites annonces matrimoniales afin de leur
dérober argent et bijoux.
Un jour, leur
protecteur, l’abbé Ferrandis, leur présente le commissaire Alain Molinès.
Celui-ci tombe aussitôt
amoureux de Christine, la sœur aînée qui
elle-même n’est pas insensible à son
charme. Cette idylle plongera toute la petite
famille dans une série d’épouvantables imbroglios.
Une pièce qui réunit l’atmosphère du polar des années cinquante et
l’humour noir des comédies anglo-saxonnes. Les personnages de « Nuits
Chaudes à Bab-El-Oued » ne sont pas forcément recommandables mais ils sont
sympathiques. Bien que le monde dans lequel ils vivent s’écroule, ils aspirent
au bonheur et pour cela sont prêts à tous les accommodements avec la morale. Et
si au final, ils se retrouvent du côté du Bien, c’est sans l’avoir voulu. Les
protagonistes de cette histoire traversent avec une certaine inconscience des
événements tragiques et commettent des méfaits que les tribunaux punissent sévèrement.
Mais la providence veille sur eux et leur offrira un happy end inespéré et
peut-être immérité. Jusqu’au bout, la comédie gardera ses prérogatives.
Nous aimerions que le
spectateur voit notre spectacle comme un film de série B en technicolor et nous
espérons qu’il appréciera le soin que nous avons apporté au décor, aux costumes
et à la musique. Nuits Chaudes à Bab-El-Oued
se présente aussi comme un voyage d’une heure trente dans les années cinquante.
Programme
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